Les Boulogne Boys sont souvent, à tort, présentés comme l’association la plus impliquée, mais ce sont plutôt les indépendants de la tribune Boulogne, qui ne supportent pas qu’une association relativement récente affichent des messages du type : « L’avenir est à nous ! Depuis l’hiver 2008, un petit groupe sans étiquette particulière, dont une bonne partie est issue de l’ancienne association Tigris Mystic, tente de redonner vie à Auteuil rouge en reprenant les chants de l’étage, mais aussi à l’aide de drapeaux et étendards, et se déplace très régulièrement. Aux alentours de l’an 2000, un projet tente d’unir les principales associations du Virage Auteuil afin de former un Collectif Virage Auteuil ou C.U.R.V.A (Collectif Ultras Rassemblant le Virage Auteuil – la Curva veut dire « virage » en espagnol, fr fortmaillot italien et portugais). Les Authentiks de la tribune G, considérée comme une extension du Virage Auteuil, sont également pris pour cible. À la suite de ce triste évènement et des différents affrontements de plus en plus violents et fréquents entre certains pensionnaires du Kop de Boulogne et du Virage Auteuil, les pouvoirs publics français décident de la dissolution des groupes ultras impliqués dans les affrontements récurrents entre les deux tribunes. Un sursaut d’activité est à noter en 2001, lorsque quelques supporters issus de différentes composantes du Parc des Princes décident de continuer l’ambiance du Virage Auteuil en tribune G bleu.
Cependant, à la suite d’une saison délicate dans les relations entre le club et ses supporters à cause notamment d’un fait tragique (un supporter parisien est décédé dans la nuit de mercredi 17 à jeudi 18 mars 2010, après un tabassage le 28 février 2010 en marge d’un match Paris Saint-Germain – Olympique de Marseille), la direction du PSG a changé la politique d’abonnement du club et a fait repeindre les coursives du virage Auteuil afin d’en faire disparaître les fresques et les tags, dont certains dédiés à des supporters décédés. Pour les finales sur terrain neutre toutefois, Boulogne aligne toujours un contingent plus imposant que le Virage Auteuil. La mesure principale en est la suppression des abonnements et le placement aléatoire, uniquement pour les tribunes G, K, Auteuil et Boulogne : la majorité des anciens abonnés de ces tribunes boycottent désormais le Parc des Princes. Les anciens groupes de Boulogne, comme les Boys et les Gavroches, restent dans le Kop de Boulogne mais certains de leurs membres et sympathisants migrent à l’autre bout du Parc des Princes. Contrairement à la tribune Boulogne située de l’autre côté du stade, la tribune Auteuil n’est pas très active au niveau de ses supporters jusqu’au début des années 1990, hormis de nombreux abonnés dès la fin années 1970, plus spectateurs que supporters.
Les premiers incidents éclatent hors du stade, lorsque des supporters turcs sont agressés par des hooligans. Le club sera ainsi condamné à disputer un match à huis clos au Parc des Princes contre Bastia en février 2005. Lors du déplacement à Saint-Étienne, près de 400 supporters du PSG seront même contraints de rester sur le parking du stade car ceux-ci refusaient le principe de billets nominatifs avec présentation de la Carte Nationale d’Identité. En janvier 2018, à l’approche de l’anniversaire des 40 ans du Kop of Boulogne, des anciens abonnés appellent ses ex-membres et sympathisants à « un dernier déplacement massif » à Bordeaux le 31 mars de la même année, à l’occasion de la finale de la Coupe de la Ligue. Cette crise ne dure pas malgré quelques dérapages en déplacement durant la saison 2003-2004 (incidents au Mans et Strasbourg, puis apparition des séparations Auteuil-Boulogne lors de la finale de la Coupe de France au Stade de France contre Châteauroux en mai 2004). En 2004-2005, l’union de l’ensemble des associations du Parc contre la politique de sécurité engagée par les autorités et le club évitera les tensions.
Le 22 mai 1938, les Polonais entrent vite dans le match et marquent leur premier but très tôt. Après une longue période de guerre puis une phase de détente, la guerre Boulogne-Auteuil se rallume en mai 2003 lors d’incidents à Auxerre. Durant ce match, elle se fera même exclure par Fédé pour jeu jugé dangereux après une reprise de volée sur un ballon repoussé par Éloïse, Victoire ne cherchera pas à marquer le but, mais uniquement à allumer de près la gardienne des Bleus en lui tirant la balle en pleine figure. Son nom fait suite à un concours proposé aux supporteurs du club, puis choisi par un jury composé de Jean-Marc Ettori (Président du Tours FC), Jean-Luc Ettori (Président délégué), Gilbert Zoonekynd et Alexandre Dujeux (entraîneurs), Bingourou Kamara (joueur), Stéphanie Lacote (responsable administrative de l’association) et Alexandre Bertrel (attaché de presse, webmestre responsable du projet). Elle se manifeste rapidement par des affluences accrues dans les stades, une rupture de stock des maillots du joueur. 20Le clergé sportif de cette époque était très souvent animé par deux préoccupations : la conversion des ouvriers et, surtout, la conversion des jeunes hommes.
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